Description
Edgar DEGAS (Paris, 1834 - 1917) L’Esclave mourant, d’après Michel-Ange Crayon noir. Essai de crayon noir sur le côté droit. Cachet de la vente de l’atelier en bas à gauche (L. 658). Cachet de la succession en bas à droite (L. 657). 26,7 x 20,2 cm Provenance : - IVème et dernière vente de l’atelier, Paris, galerie Georges Petit, 2-4 juillet 1919, partie n° 130, (b) mentionné comme un saint Sébastien. - Comte Bombicci-Pontelli, Florence. - Vente anonyme, Pandolfini, Florence, 18 novembre 2015, p. 86, n° 107. Expositions : - La Peinture française à Florence, Florence, Palais Pitti, Eté 1945, cat. 195. - Degas à l’Opéra, Paris, musée d’Orsay, 24 septembre 2019 - 19 janvier 2020, cat. 37. Entre 1853 et 1879, Degas réalise de nombreuses copies en étudiant les œuvres de maîtres au Louvre, au département des estampes de la Bibliothèque nationale, mais également durant son voyage en Italie entre 1856 et 1861. Ainsi « tout ce qui est susceptible de l’aider à résoudre le problème du mouvement dans le corps humain l’attire » et pour ce faire il exécute de rapides esquisses, comme ici, avec la célèbre torsion d’un des esclaves de Michel-Ange. Cette œuvre peut être rapprochée d’un dessin d’après un des Prisonniers [sic] et conservé à Zurich au sein de la collection Feilchenfelt (voir : J. Lassaigne et F. Minervo, Tout l’œuvre peint de Degas, Paris, Flammarion, 1974, p. 86-87, reproduit. fig. 9).
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Edgar DEGAS (Paris, 1834 - 1917) L’Esclave mourant, d’après Michel-Ange Crayon noir. Essai de crayon noir sur le côté droit. Cachet de la vente de l’atelier en bas à gauche (L. 658). Cachet de la succession en bas à droite (L. 657). 26,7 x 20,2 cm Provenance : - IVème et dernière vente de l’atelier, Paris, galerie Georges Petit, 2-4 juillet 1919, partie n° 130, (b) mentionné comme un saint Sébastien. - Comte Bombicci-Pontelli, Florence. - Vente anonyme, Pandolfini, Florence, 18 novembre 2015, p. 86, n° 107. Expositions : - La Peinture française à Florence, Florence, Palais Pitti, Eté 1945, cat. 195. - Degas à l’Opéra, Paris, musée d’Orsay, 24 septembre 2019 - 19 janvier 2020, cat. 37. Entre 1853 et 1879, Degas réalise de nombreuses copies en étudiant les œuvres de maîtres au Louvre, au département des estampes de la Bibliothèque nationale, mais également durant son voyage en Italie entre 1856 et 1861. Ainsi « tout ce qui est susceptible de l’aider à résoudre le problème du mouvement dans le corps humain l’attire » et pour ce faire il exécute de rapides esquisses, comme ici, avec la célèbre torsion d’un des esclaves de Michel-Ange. Cette œuvre peut être rapprochée d’un dessin d’après un des Prisonniers [sic] et conservé à Zurich au sein de la collection Feilchenfelt (voir : J. Lassaigne et F. Minervo, Tout l’œuvre peint de Degas, Paris, Flammarion, 1974, p. 86-87, reproduit. fig. 9).
