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Description
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Paire d'ENCOIGNAGES LOUIS XV EN AMARANTH ET BOIS SATINE ORMOLU ATTRIBUÉS À JEAN-PIERRE LATZ, MOYEN 18e SIÈCLE ET PLUS TARD, de forme serpentine, avec des montures Rococo avec feuilles chantournées, fleurs, rocaille et d'un cartouche en forme d'aile d'oiseau, chacune avec un plateau en marbre pêche fossilisé avec un bord mouluré, au-dessus d'un tiroir en frise et d'une paire de portes de placard, enfermant une étagère, sur des pieds en volute, estampillés 'L. Boudin JME', avec des étiquettes en papier imprimées numérotées '11' et '12, avec des placages postérieurs (2) 94.2cm de haut, 84.7cm de large, 86.5cm de large Provenance Alfred de Rothschild (1842-1918) the Ante-Room to the Lawrence Room, Halton House, Buckinghamshire Lionel de Rothschild (1882-1942) Edmund de Rothschild (1916-2009) The Trustees of Exbury House Literature Rothschild Archive Manuscript : 000/174/C/3, Christie, Manson & Woods Probate Valuation of 'The Estate of Alfred C. de Rothschild, Esq. C.V.O. décédé, Halton House Tring'. 1918. Paire d'encoigneurs Louis XV, plaqués de bois de tulipe et de bois royal, montés de bordures en bronze doré ciselées de rinceaux et d'ailes, surmontés de plaques de marbre rose veiné, 150 £. Note du catalogue Jean-Pierre Latz (français vers 1691-1754) est né à Cologne et s'est installé à Paris à partir de 1719 comme ébéniste. Il a épousé Marie-Madeleine Signet en 1739, la fille d'un promoteur immobilier prospère. Peu de temps après, avant 1741, Latz reçoit un mandat royal lui permettant d'exercer librement sa profession sans devenir maître. Les encoignures produites par Latz sont décorées dans un style similaire, généralement en forme de bombe, avec deux portes à charnières et un tablier qui forme un troisième pied à l'avant, montées avec des montures en bronze très contournées, avec des ailes d'oiseaux stylisées et des motifs de fleurs et de feuilles. Il n'existe que quelques paires estampillées par Latz mais beaucoup d'autres peuvent lui être attribuées sur la base de leurs caractéristiques. Latz est décédé en 1754 et comme il n'avait pas d'héritier mâle, sa veuve a continué l'atelier avec le mandat royal jusqu'à sa propre mort en 1756, après quoi l'atelier a été fermé et le travail et le nom de Latz sont tombés dans l'obscurité. Ce n'est qu'au XXe siècle que ses réalisations ont été reconnues. Cette paire d'encoignures est estampillée "Boudin" pour Léonard Boudin (Français, 1735-1807) qui a commencé comme artisan indépendant mais est devenu détaillant de meubles avant 1775. Boudin apposait régulièrement son cachet sur les meubles qu'il vendait, même s'ils portaient déjà le cachet du fabricant. Littérature Voir Pierre Kjellberg, Le Mobilier Francais du XVIIIe siècle - Dictionnaire des Ebenistes et des Menuisiers, pp.484-485 pour des exemples similaires et Alexandre Pradere, French Furniture Makers, The Art of the Ebeniste from Louis XIV to the Revolution, p.157 pour une paire d'encoignures similaire.

wiltshire, Royaume-Uni