Null [SAINT-MARTIN (Louis-Claude de)]. Tableau naturel des rapports qui existent…
Description

[SAINT-MARTIN (Louis-Claude de)]. Tableau naturel des rapports qui existent entre Dieu, l'Homme et l'Univers. Edimbourg, sn, 1782. 2 parties en un vol. in-8 maroquin brun foncé, dos à nerfs, titre doré, filet doré encadrant les plats (reliure de l'époque). Coiffes et coins usés, qqs frottés, qqs petites rousseurs. SAINT-MARTIN (Louis Claude de) dit le Philosophe Inconnu, célèbre philosophe illuminé, né à Amboise en 1743, mort à Aunay près de Paris en 1803. D'abord officier au régiment de Foix en garnison à Bordeaux, où il connut le Juif Martinez de Pasqualis, Portugais d'origine Orientale. Puis démissionnaire, il voyagea en Angleterre, Italie, etc. et pendant la Révolution fut un moment « élève-professeur» à l'École Normale. Il fut constamment en relation avec les femmes distinguées de son temps : Mme de Krudener, Mme d'Albany, Mme de Noailles, etc. (Caillet). « Ouvrage assez peu commun du Théosophe Claude de St-Martin. C’est son deuxième en date : j’en connais trois éditions différentes, publiées toutes trois sous l'indication trompeuse d’Edimbourg (Lyon), et le millésime 1782. L’une est discernable au premier coup d’œil, parce que l’imprimeur y a constamment fait usage de l’ancien caractère typographique de l’s allongée : f. Pour distinguer les deux autres, il faut recourir à de petits détails typographiques du texte et aussi du Titre : elles se ressemblent très fort…». S. de Guaita. (Barbier IV, 650 ; Caillet 8784.)

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[SAINT-MARTIN (Louis-Claude de)]. Tableau naturel des rapports qui existent entre Dieu, l'Homme et l'Univers. Edimbourg, sn, 1782. 2 parties en un vol. in-8 maroquin brun foncé, dos à nerfs, titre doré, filet doré encadrant les plats (reliure de l'époque). Coiffes et coins usés, qqs frottés, qqs petites rousseurs. SAINT-MARTIN (Louis Claude de) dit le Philosophe Inconnu, célèbre philosophe illuminé, né à Amboise en 1743, mort à Aunay près de Paris en 1803. D'abord officier au régiment de Foix en garnison à Bordeaux, où il connut le Juif Martinez de Pasqualis, Portugais d'origine Orientale. Puis démissionnaire, il voyagea en Angleterre, Italie, etc. et pendant la Révolution fut un moment « élève-professeur» à l'École Normale. Il fut constamment en relation avec les femmes distinguées de son temps : Mme de Krudener, Mme d'Albany, Mme de Noailles, etc. (Caillet). « Ouvrage assez peu commun du Théosophe Claude de St-Martin. C’est son deuxième en date : j’en connais trois éditions différentes, publiées toutes trois sous l'indication trompeuse d’Edimbourg (Lyon), et le millésime 1782. L’une est discernable au premier coup d’œil, parce que l’imprimeur y a constamment fait usage de l’ancien caractère typographique de l’s allongée : f. Pour distinguer les deux autres, il faut recourir à de petits détails typographiques du texte et aussi du Titre : elles se ressemblent très fort…». S. de Guaita. (Barbier IV, 650 ; Caillet 8784.)

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