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LIP BLANCPAIN Fifty Fathoms, Rotomatic Incabloc




Montre bracelet de plo…
Description

LIP BLANCPAIN Fifty Fathoms, Rotomatic Incabloc Montre bracelet de plongée en acier produite, boîtier rond, lunette tournante graduée, le cadran noir laqué, index appliqués triangles et chiffres arabes, aiguilles luminescentes, trotteuse centrale, minuterie chemin de fer, double signature "Blancpain Lip", mouvement automatique R108/AS1361N, fond vissé en acier, numéroté 14982, inscription gravée 'Rayville SA Swiss' à l'intérieur du fond, bracelet Tropic noir 19mm (petite fente) D. 35 mm (Très bel état, fonctionne, la couronne changée, une vis manquante à la fixation du mouvement, prévoir une révision) 'Fifty Fathoms' : en français, 'cinquante brasses', équivalent à 50 x 1,83 m soit une étanchéité d’un peu plus de 91 mètres, profondeur limite pour une plongée avec air comprimé à l'époque. A l’initiative du Capitaine Robert Bob Maloubier et de l’enseigne de vaisseau, le Lieutenant Claude Riffaud de l’unité des nageurs de combat, le PDG de Blancpain Jean-Jacques Fiechter, passionné de plongée, saisit l’opportunité de mettre au point une montre étanche dédiée à la plongée sous-marine et répondant aux attentes des plongeurs (boîtier étanche, lecture dans l'obscurité…). Le premier modèle Blancpain Fifty Fathoms sera présenté à BaselWorld en 1954, un an avant la Rolex Submariner. Dans ces années 1950, Blancpain n'étant pas connue en France, un accord commercial est signé avec Lip en 1954, autorisant à commercialiser via ses 2.000 points vente les montres Blancpain et la première Fifty Fathoms, montre de plongée totalement étanche. Deux versions furent produites : une militaire destinée aux plongeurs professionnels, d'abord équipant l'armée française puis d'autres armées à travers le monde, et une version civile, plus petite. Il est mis un terme à cet accord de distribution entre Rayville SA (successeur de Blancpain) et Lip en 1957, à une époque où Fred Lip travaille au lancement de la gamme Lip Nautic, destinées aux sports aquatiques. Modèle devenu mythique, il ornait le poignet du commandant Cousteau dans le film "Le Monde du silence". Bibliographie (pour un modèle approchant illustré) : Marie-Pia Auschitzky Coustans, "Lip, des heures à conter", Edition Libris, 2000.

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LIP BLANCPAIN Fifty Fathoms, Rotomatic Incabloc Montre bracelet de plongée en acier produite, boîtier rond, lunette tournante graduée, le cadran noir laqué, index appliqués triangles et chiffres arabes, aiguilles luminescentes, trotteuse centrale, minuterie chemin de fer, double signature "Blancpain Lip", mouvement automatique R108/AS1361N, fond vissé en acier, numéroté 14982, inscription gravée 'Rayville SA Swiss' à l'intérieur du fond, bracelet Tropic noir 19mm (petite fente) D. 35 mm (Très bel état, fonctionne, la couronne changée, une vis manquante à la fixation du mouvement, prévoir une révision) 'Fifty Fathoms' : en français, 'cinquante brasses', équivalent à 50 x 1,83 m soit une étanchéité d’un peu plus de 91 mètres, profondeur limite pour une plongée avec air comprimé à l'époque. A l’initiative du Capitaine Robert Bob Maloubier et de l’enseigne de vaisseau, le Lieutenant Claude Riffaud de l’unité des nageurs de combat, le PDG de Blancpain Jean-Jacques Fiechter, passionné de plongée, saisit l’opportunité de mettre au point une montre étanche dédiée à la plongée sous-marine et répondant aux attentes des plongeurs (boîtier étanche, lecture dans l'obscurité…). Le premier modèle Blancpain Fifty Fathoms sera présenté à BaselWorld en 1954, un an avant la Rolex Submariner. Dans ces années 1950, Blancpain n'étant pas connue en France, un accord commercial est signé avec Lip en 1954, autorisant à commercialiser via ses 2.000 points vente les montres Blancpain et la première Fifty Fathoms, montre de plongée totalement étanche. Deux versions furent produites : une militaire destinée aux plongeurs professionnels, d'abord équipant l'armée française puis d'autres armées à travers le monde, et une version civile, plus petite. Il est mis un terme à cet accord de distribution entre Rayville SA (successeur de Blancpain) et Lip en 1957, à une époque où Fred Lip travaille au lancement de la gamme Lip Nautic, destinées aux sports aquatiques. Modèle devenu mythique, il ornait le poignet du commandant Cousteau dans le film "Le Monde du silence". Bibliographie (pour un modèle approchant illustré) : Marie-Pia Auschitzky Coustans, "Lip, des heures à conter", Edition Libris, 2000.

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