Null École russe, ateliers des Vieux Croyants, première moitié du XIXe siècle.

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Description

École russe, ateliers des Vieux Croyants, première moitié du XIXe siècle. "Résurrection du Christ, descente aux enfers du Christ et sa vie en 16 scènes hagiographiques". Tempera sur panneau. Dimensions : 53 x 44 cm. La descente du Christ aux enfers est l'une des représentations les plus importantes de l'iconographie chrétienne. Ce passage était connu dans la Rus antique depuis le 11e siècle, mais il est devenu plus populaire dans la seconde moitié du 14e siècle. L'iconographie de ce passage du Nouveau Testament s'est finalement développée au XVIIe siècle dans les ateliers de Moscou. À cette époque, l'icône a atteint sa complexité maximale, combinant les passages du Nouveau et de l'Ancien Testament, et composant en même temps les scènes de la Résurrection et de la descente du Christ aux enfers en une seule. L'icône intéressante, malgré sa composition relativement simple, un registre central entouré de 16 scènes hagiographiques, est très attrayante en raison du symbolisme des détails qui accompagnent chacune des miniatures. Dans la scène centrale, qui constitue le thème principal de l'icône, on trouve des représentations de l'enfer, très inhabituelles dans l'iconographie orthodoxe, sous la forme de la gueule ouverte du dragon monstrueux. Les 16 miniatures sont frappantes par leurs détails architecturaux et naturels. Ces scènes doivent être regardées de l'angle supérieur gauche vers l'angle droit, puis dans l'ordre suivant : la sixième image à l'extrême gauche, la septième à l'extrême droite, et ainsi de suite, pour aboutir à la seizième cellule dans l'angle inférieur droit. L'ensemble de la composition se termine par quatre apôtres évangélistes dans chaque coin de l'icône. Cette pièce précieuse appartient aux ateliers des Vieux Croyants orthodoxes, qui ont été persécutés par l'église officielle à partir de la seconde moitié du XVIIe siècle. Un certain nombre de caractéristiques l'indiquent, notamment les inscriptions sur le bord extérieur, la bénédiction avec deux doigts et les croix à huit pointes.

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École russe, ateliers des Vieux Croyants, première moitié du XIXe siècle. "Résurrection du Christ, descente aux enfers du Christ et sa vie en 16 scènes hagiographiques". Tempera sur panneau. Dimensions : 53 x 44 cm. La descente du Christ aux enfers est l'une des représentations les plus importantes de l'iconographie chrétienne. Ce passage était connu dans la Rus antique depuis le 11e siècle, mais il est devenu plus populaire dans la seconde moitié du 14e siècle. L'iconographie de ce passage du Nouveau Testament s'est finalement développée au XVIIe siècle dans les ateliers de Moscou. À cette époque, l'icône a atteint sa complexité maximale, combinant les passages du Nouveau et de l'Ancien Testament, et composant en même temps les scènes de la Résurrection et de la descente du Christ aux enfers en une seule. L'icône intéressante, malgré sa composition relativement simple, un registre central entouré de 16 scènes hagiographiques, est très attrayante en raison du symbolisme des détails qui accompagnent chacune des miniatures. Dans la scène centrale, qui constitue le thème principal de l'icône, on trouve des représentations de l'enfer, très inhabituelles dans l'iconographie orthodoxe, sous la forme de la gueule ouverte du dragon monstrueux. Les 16 miniatures sont frappantes par leurs détails architecturaux et naturels. Ces scènes doivent être regardées de l'angle supérieur gauche vers l'angle droit, puis dans l'ordre suivant : la sixième image à l'extrême gauche, la septième à l'extrême droite, et ainsi de suite, pour aboutir à la seizième cellule dans l'angle inférieur droit. L'ensemble de la composition se termine par quatre apôtres évangélistes dans chaque coin de l'icône. Cette pièce précieuse appartient aux ateliers des Vieux Croyants orthodoxes, qui ont été persécutés par l'église officielle à partir de la seconde moitié du XVIIe siècle. Un certain nombre de caractéristiques l'indiquent, notamment les inscriptions sur le bord extérieur, la bénédiction avec deux doigts et les croix à huit pointes.

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