Null École andalouse ; dernier tiers du XVIIe siècle.

"Santa Rosalia de Palermo…
Description

École andalouse ; dernier tiers du XVIIe siècle. "Santa Rosalia de Palermo". Huile sur toile. Re-dessinée. Elle présente des défauts et des repeints. Mesures : 38,5 x 31,5 cm. Rosalia de Palerme est une sainte italienne du XIIe siècle, dont le culte a été promu par les Bénédictins. Elle est considérée comme une protectrice contre les maladies infectieuses, comme la peste, et elle est également invoquée pour demander sa protection dans les moments difficiles. Rosalia a vécu dans la solitude, la pauvreté et la pénitence. Selon son hagiographie, elle a accompli des miracles comme l'extinction de la peste qui a dévasté sa Sicile natale. Patronne de Palerme, elle jouit d'une grande dévotion en Sicile. Sainte Rosalie a été un sujet important dans la peinture italienne de la Renaissance et du Baroque, notamment dans les sacre conversazioni (images de groupe de saints flanquant la Vierge Marie) d'artistes tels que Riccardo Quartararo, Mario di Laurito, Vincenzo La Barbara et peut-être Antonello da Messina. Mais c'est le maître flamand Van Dyck (1599-1637), qui s'est retrouvé à Palerme pendant la peste de 1624, qui a réalisé le plus grand nombre de tableaux la représentant. Sainte Rosalie est généralement représentée comme une jeune femme aux cheveux blonds flottants, portant un capuchon franciscain ou une couronne de fleurs et se penchant vers la ville de Palerme pour la protéger du danger. Dans cette œuvre, la sainte est représentée assise au centre de la composition, bien qu'aucun élément anecdotique, comme la chaise ou les détails de l'intérieur, ne soit visible. Il s'agit plutôt d'un fond neutre, sur lequel se détachent la présence colorée du saint, habillé de vêtements vifs, et l'expressivité des fleurs.

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École andalouse ; dernier tiers du XVIIe siècle. "Santa Rosalia de Palermo". Huile sur toile. Re-dessinée. Elle présente des défauts et des repeints. Mesures : 38,5 x 31,5 cm. Rosalia de Palerme est une sainte italienne du XIIe siècle, dont le culte a été promu par les Bénédictins. Elle est considérée comme une protectrice contre les maladies infectieuses, comme la peste, et elle est également invoquée pour demander sa protection dans les moments difficiles. Rosalia a vécu dans la solitude, la pauvreté et la pénitence. Selon son hagiographie, elle a accompli des miracles comme l'extinction de la peste qui a dévasté sa Sicile natale. Patronne de Palerme, elle jouit d'une grande dévotion en Sicile. Sainte Rosalie a été un sujet important dans la peinture italienne de la Renaissance et du Baroque, notamment dans les sacre conversazioni (images de groupe de saints flanquant la Vierge Marie) d'artistes tels que Riccardo Quartararo, Mario di Laurito, Vincenzo La Barbara et peut-être Antonello da Messina. Mais c'est le maître flamand Van Dyck (1599-1637), qui s'est retrouvé à Palerme pendant la peste de 1624, qui a réalisé le plus grand nombre de tableaux la représentant. Sainte Rosalie est généralement représentée comme une jeune femme aux cheveux blonds flottants, portant un capuchon franciscain ou une couronne de fleurs et se penchant vers la ville de Palerme pour la protéger du danger. Dans cette œuvre, la sainte est représentée assise au centre de la composition, bien qu'aucun élément anecdotique, comme la chaise ou les détails de l'intérieur, ne soit visible. Il s'agit plutôt d'un fond neutre, sur lequel se détachent la présence colorée du saint, habillé de vêtements vifs, et l'expressivité des fleurs.

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