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Objets de collection

Les ventes aux enchères en ligne d’objets de collection permettent d’assouvir toutes ses envies, des flacons de parfums aux instruments de musique, des appareils photos, caméras et téléviseurs aux stylos, porte-plumes et encriers.
« Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder », écrivait Oscar Wilde. Dans ces ventes aux enchères d’objets de collection, les pipes, briquets, caves à cigares, tabatières et pots à tabacs sont des objets très prisés, comme également les cartes postales ou les vinyles. Les nécessaires fumeur y font un tabac. Les placoemaillophiles, collectionneurs de plaques émaillées, y trouveront leur bonheur. Les timbrés de philatélie y dénicheront de rares timbres de collection, et les amateurs de taxidermie des animaux naturalisés. Sur le tapis rouge de l’Hôtel Drouot, on assiste à un véritable festival de Cannes -qu’elles soient à pommeau ou à système-, à un défilé d’élégance automobile où se succèdent voitures, véhicules hippomobiles, et même avions, bateaux et motos !Les ventes aux enchères d’objets de collection englobent les objets de curiosité, ces « choses rares, nouvelles, singulières » selon le Littré, qui comprennent notamment les scientifica les instruments scientifiques. A Drouot, la curiosité n’est pas qu’un vilain défaut.
Retrouvez sur Drouot.com les plus belles ventes live d’objets de collection à Paris, dans toute la France et à l’étranger (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, Etats-Unis, etc.)

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Lots recommandés

1956 – Jaguar XK140 Cabriolet SE - Titre de circulation monégasque Châssis n°S818897BW Moteur n°G8516-8S - Sans doute la meilleure de la série XK et configuration la plus confortable - Rare exemplaire conduite à gauche, boîte automatique et SE - Restauration ancienne de qualité à reprendre - Nombreuses améliorations esthétiques et techniques Localisation : région niçoise Notre Jaguar XK est à l’origine une rare XK140 en carrosserie cabriolet (Drophead Coupe/DHC) avec conduite à gauche et dotée de la boîte de vitesses automatique Borg-Warner en version Special Equipment (SE) avec culasse de type C, ainsi que nous l’indique le certificat Jaguar Heritage figurant dans le dossier de la voiture. Ce dernier nous apprenant également que la voiture est sortie d’usine le 13 septembre 1956 pour être expédiée au distributeur Jaguar Cars de New York le 5 octobre suivant. Si son histoire est ensuite inconnue, on sait qu’elle a appartenu entre 1994 et 2010 au Vétéran de la Marine américaine, homme de Droit et auteur Albert R. Pincus, en étant immatriculée à son nom dans l’Etat de Pennsylvanie. C’est durant la possession de ce dernier que la voiture a remporté plusieurs prix suite à sa restauration intégrale, dans sa configuration actuelle, gris métallisé avec intérieur cuir bordeaux, capote grise et pneus à flanc blanc, qui diffère de l’origine. Elle a ensuite été importée en France fin 2010 et entretenue par Americo Automobile à Argenteuil, avant d’être acquise par son propriétaire actuel lors d’une vente aux enchères à Paris en 2014. Aujourd’hui, cette XK140 DHC se présente dans un état général de présentation et de fonctionnement satisfaisant, bien que des travaux sont à prévoir puisque la restauration effectuée, certes de qualité, est maintenant ancienne. Le bloc moteur d’origine a été remplacé par un autre (numéroté G8515-8S) dont le type est conforme au modèle, tandis que la culasse qui n’est plus celle d’origine non plus, a elle été changée par une autre qui n’est pas de type C, mais s’avère être une culasse (numérotée 7B58197-8) de Jaguar type S de même cylindrée (3,4L). La voiture a en revanche conservé sa boîte de vitesses d’origine. Elle a été avantageusement équipée d’un radiateur en aluminium avec ventilateur additionnel, d’un vase d’expansion en aluminium également, d’un alternateur et de la direction assistée (hydraulique), ainsi que d’une pompe à essence électrique, d’un réservoir en aluminium, d’amortisseurs à gaz, d’étriers de frein plus gros qu’à l’origine à l’avant et de freins à disques à l’arrière, d’un échappement inox… Elle dispose aussi d’un indicateur de température d’eau, d’un volant Moto-Lita, d’une radio Radiomobile et de roues à rayons chromés. Ainsi parée pour des voyages au long cours, son propriétaire a pu en profiter lors de rallyes touristiques et l’a faite révisée en 2021, mais ne l’utilise plus depuis. Cette XK140 DHC affichant 921 miles nécessite donc un peu d’attention. Néanmoins, elle constitue une formidable opportunité pour un amateur souhaitant se faire plaisir et accéder à la famille XK pour un budget maîtrisé. Ce d’autant plus qu’il s’agit de l’un des 2310 exemplaires de XK140 cabriolet en conduite à gauche produits entre 1954 et 1957, dont peu furent commandés à la fois avec l’option boîte de vitesses automatique et « SE ». Un rapport d’expertise détaillé de 2022 est disponible sur demande, que nous conseillons aux personnes intéressées de consulter. Le véhicule est vendu en l’état, sans contrôle technique et devra impérativement bénéficier d’une révision complète avant de pouvoir reprendre la route. La Jaguar XK120 roadster est présentée au London Motor Show en 1948, seulement deux mois après la création de son châssis et de sa carrosserie. A cette époque, il y a peu de voitures de sport sur le marché et la plupart de celles existantes a été conçue avant la Seconde Guerre mondiale. C’est donc la surprise générale quand cette sportive qui semble dessinée par le vent et qui est animée par un nouveau moteur double arbre à cames en tête, développant 160 chevaux, capable d’atteindre les 120 miles (d’où son nom) est dévoilée. D’autant plus que son prix est très compétitif, alors même que son instrumentation est très complète et que l’intérieur est en cuir Connolly. A l’image de son tarif, ses performances sont elles aussi très compétitives et permettent à la XK120 de s’illustrer dans les compétitions les plus prestigieuses. D’abord disponible en roadster, la XK120 est déclinée en Fixed Head Coupe (FHC) en 1951, puis en Drophead Coupe (DHC) en 1953, sans oublier la déclinaison plus sportive baptisée « Special Equipment », pouvant être associée à n’importe laquelle de ces carrosseries dès 1951. Cette version consistant en une culasse m

Estim. 50 000 - 70 000 EUR

2002 – Aston Martin V12 Vanquish - Titre de circulation français Châssis n°SCFAC23312B500271 Moteur n°00337 - Ligne racée, technologies de pointe et blason prestigieux - Superbe combinaison de couleurs et version 2+2 - A peine 52 000 kms avec entretien suivi dans le réseau - Immobilisée pour un problème de boîte à vitesses Localisation : région lyonnaise L’exemplaire présenté est une Aston Martin Vanquish V12 5.9L en avantageuse version 2+2. Livrée neuve par la concession British Motors à Monaco le 31 mai 2002, cette Vanquish fut probablement utilisée comme voiture de démonstration avant d’être mise en circulation ensuite le 13 novembre 2002. D’après le dossier et le carnet d’entretien disponibles, elle resta dans le sud de la France jusqu’en 2012, avant d’être immatriculée en Belgique puis au Luxembourg, pour finalement revenir en France en 2022. Elle arbore une magnifique et rare configuration bleu nuit métallisé (Mendip Blue metallic) avec intérieur cuir blanc et moquettes bleues, qui renforce encore un peu plus le pouvoir d’attraction de cette splendide GT. Régulièrement entretenue, la voiture totalise 52 008 kms et se trouve dans un excellent état de présentation. Sa carrosserie est en effet exempte de tout défaut notable, particulièrement bien conservée et mise en valeur grâce au traitement céramique qu’elle a reçu. L’ensemble de l’habitacle est également très bien préservé, avec une sellerie dans un état proche du neuf, notamment en ce qui concerne les places arrière. Mécaniquement, cette Vanquish semble également en très bon état puisque suivie dans le réseau de la marque. Le dernier entretien remonte à mars 2022 alors qu’elle avait 49666 kms et en 2023 les bobines d’allumage ont aussi été changées. Cependant, la voiture est immobilisée depuis maintenant 4 mois environ, en raison d’un problème soudain de boîte de vitesses qui ne répond plus et qui est la faiblesse connue du modèle. Elle est donc vendue en l’état, non fonctionnelle, sans contrôle technique à jour de moins de 6 mois, étant précisé que le dernier, en date du 17/11/2022 à 50582 kms était vierge. Elle pourra ainsi au choix de son futur propriétaire, soit être remise en état, soit être convertie en boîte de vitesses manuelle, comme c’est devenu l’usage chez Aston Martin face à ce type de problème récurrent sur la Vanquish, afin de permettre d’exploiter sereinement tout le potentiel de cette automobile d’exception. Une fois remise en service, cette Vanquish saura vous gratifier de sa sonorité envoutante et constituera une belle pièce de collection pour tout amateur. A fortiori sachant qu’elle est dans une configuration peu courante (couleurs et 2+2), mais qu’elle est aussi complète, c’est-à-dire accompagnée à la fois de ses différents manuels, carnets et d’un dossier d’historique, ainsi que de son double des clés, de sa housse et de son chargeur de batterie d’origine. La Vanquish a fait une apparition remarquée dans l’opus « Meurs un autre jour » de la saga James Bond, qui a participé à sa renommée. Pour autant, elle est encore sous-cotée. Alors soyez aussi audacieux que le célèbre agent secret lié à marque pour vous en saisir, sans attendre un autre jour ! Dévoilée au salon de l’Automobile de Detroit 1998, sous la forme du concept-car « Project Vantage », l’Aston Martin Vanquish est officiellement présentée au salon de Genève 2001, sous une forme étonnamment proche du concept-car. Elle participe alors au renouveau de la firme en remplaçant la Virage. Son dessin est signé Ian Callum, le père de la DB7, qui avait déjà collaboré avec le groupe Ford auquel appartient alors Aston Martin. La ligne est à la fois musclée et élégante. Elle s’inscrit dans la tradition et l’élégance de la marque anglaise, tout en dégageant une impression de puissance résolument moderne. La conception de la Vanquish fait d’ailleurs appel aux meilleures technologies du moment. Effectivement, la voiture est faite d’un nouveau châssis rigide et performant, alliant le carbone, l’aluminium ainsi que des matériaux composites. La carrosserie est également en aluminium. Le moteur de chez Cosworth Racing est un V12 de 5,9 litres de cylindrée développant 460 chevaux et 540 Nm de couple. Il est couplé à une boîte de vitesses robotisée à commande séquentielle à 6 rapports avec palettes au volant. Le freinage est confié à des disques Brembo surdimensionnés, de 355 mm à l’avant et de 330 mm à l’arrière, à la fois perforés et ventilés. Parallèlement la Vanquish possède une excellente aérodynamique et un fond plat, ce qui lui permet d’abattre le kilomètre départ arrêté en moins de 24 secondes et de franchir la barre symbolique des 300 km/h ! L’habitacle est aussi très soigné avec une profusion de cuir Connolly et de moquette Wilton, ensemble auquel se marie de l’aluminium pour là encore

Estim. 50 000 - 60 000 EUR

1937 – SS Jaguar 1,5 Litre berline - Titre de circulation monégasque Châssis n°89047 Moteur n°KB5321E Carrosserie n°B9047 - Première voiture « Jaguar », véritable pièce d’histoire automobile - Exemplaire du début de la production et belle configuration - Véhicule d’origine anglaise, déjà restauré dans le passé - Tournant avec remise en route à prévoir Localisation : région niçoise La SS Jaguar 1,5 Litre de la vente est une berline en conduite à droite, mise en circulation en 1937. Restaurée dans le passé, elle arbore aujourd’hui une configuration deux tons, gris argent et noir avec jantes à rayons noires, pour une présentation à la fois classique et en même temps assez moderne. La sellerie est quant à elle de couleur beige avec passepoil bleu et les moquettes sont grises, en rappel de la carrosserie. En plus de l’équipement déjà très complet pour l’époque sur cette berline de grande classe, qui est découvrable grâce à son grand toit ouvrant panoramique et à son pare-brise à entrebâillement, cet exemplaire dispose de feux longue portée, qui associés à sa configuration, renforcent son allure racée. Sans être parfaite, cette berline SS affichant 80708 miles au compteur est dans un état satisfaisant, bien que tournante mais non roulante. La carrosserie présente bien de manière générale. La planéité des éléments, les alignements et les ajustements sont globalement bons, les chromes sont brillants, à peine piqués, alors que les joints sont un peu craquelés et les vitrages bien conservés. La peinture a été refaite il y a déjà un certain temps et comporte quelques éclats par endroits. On relève quelques cloques au niveau des bas de porte et bas d’aile mais la voiture est dans l’ensemble saine, même si des traces de réparation sont visibles au niveau des dessous. Des travaux, comme le traitement du soubassement ont été effectués en 2021. Dans l’habitacle, la sellerie, les garnitures et les moquettes sont en très bon état de présentation. Les boiseries sont elles aussi assez belles et l’instrumentation paraît être fonctionnelle. La vaste boite à outils dans la malle arrière, caractéristique de la SS est bien présente et partiellement complète. Mécaniquement cette SS nécessite quelques travaux pour pouvoir rouler sereinement, notamment au niveau électrique et des freins. Le moteur, qui a été révisé en 2021, semble fonctionner normalement bien qu’il présente un défaut d’étanchéité. Le radiateur a aussi été refait en 2021. La boîte de vitesses manuelle à 4 rapports est à priori en état malgré un suintement d’huile et une course d’embrayage un peu longue. Cette rare SS Jaguar 1,5 Litre berline revêt ainsi une patine homogène dans l’ensemble, qui séduira les amateurs avertis, sachant apprécier à la fois l’intérêt historique du modèle, sa rareté, son expérience de conduite « découvrable » et accessible pour une belle avant-guerre, ainsi que la qualité de cet exemplaire à la restauration ancienne. Un rapport d’expertise détaillé de 2022 est disponible sur demande, que nous conseillons aux personnes intéressées de consulter. Le véhicule est vendu en l’état, sans contrôle technique et devra impérativement bénéficier d’une révision complète avant de pouvoir reprendre la route. C’est à partir de 1931, après diverses expérimentations, que la marque « SS » pour « Swallow Sidecar and Coachbuilding Company », jusque-là fabricant de side-cars et carrossier, devient véritablement constructeur automobile, en créant son propre type de voiture : la SS1. Le châssis est en fait construit par Standard selon les spécifications SS. Les différentes carrosseries de SS1 sont à la fois sportives et élégantes, et les voitures sont vendues à des prix compétitifs. Le succès est important et William Lyons décide alors de créer une nouvelle entreprise dédiée à la construction automobile : la SS Cars Limited. Il décide également de développer une gamme de voitures, certaines de sport et d’autres des berlines et cabriolet à prétentions sportives de 1,5 litre à 3,5 litres, dont le rapport qualité, prix et prestige procurèrent vite notoriété et reconnaissance à la jeune marque. C’est ainsi que le nom de Jaguar fut utilisé pour la première fois comme nom de modèle en septembre 1935, pour désigner la SS Jaguar 1 ½ Litre. Disponible à la fois en berline (Saloon) 4 portes et en cabriolet (Drop Head coupé) 2 portes, il s’agit d’une voiture raffinée, avec des prestations haut de gamme et des performances significatives pour un prix attractif. Sa fabrication évolue très rapidement dès 1937, en abandonnant le bois au profit du tout acier, mais la carrosserie sera toujours montée sur châssis séparé. La cylindrée du petit 4 cylindres 1,5 litre passe elle de 1608 cm3 à 1776 cm3 et abandonne les soupapes latérales au profit de soupapes en tête, tandis qu’un si

Estim. 20 000 - 25 000 EUR

Austin Seven RM Saloon 1931 - Châssis n°136 411 Moteur n°137 146 Carte grise française Le modèle présenté est un type RM Saloon introduit en mars 1930. Elle fut achetée neuve par un brigadier de police genevoise à la SA Perrot, Duval et Compagnie située au 12, rue du Général Dufour à Genève ( facture d’achat présente). Elle traversera ensuite la frontière en 1936 et restera en France, dans les mains de Charles Vernay, menuisier de Challex jusqu’en 1961, date à laquelle elle sera acquise par Jean Tua. Elle sera ensuite restaurée par la carrosserie Richard de Genève et exposée dans le musée de Jean Tua. En 2005, le musée fut contraint de quitter les lieux qu’il occupait et la collection fut dispersée. « Mes voitures iront à de vrais amateurs qui sauront les préserver et les apprécier » affirmait alors Jean Tua. C’est à cette occasion que le propriétaire actuel en fit l’acquisition il dépensera sans compter et fera entièrement reprendre la voiture entre 2005 et 2008, le moteur, notamment, étant entièrement refait par un motoriste de Zurich. La voiture sera testée entre Genève et Lausanne puis... ne roulera plus jamais ! C’est donc une voiture intouché depuis la fin de sa restauration en 2008 que nous proposons. Véritable 4e main à l’historique limpide, notre charmante Austin est une solution économique pour goûter au charme de l’avant-guerre. N’ayant pas roulé depuis 2008, comme tout bon passionné d’avant-guerre, le futur propriétaire devra faire les vérifications d’usage avant de reprendre la route. Rouler en voiture d’avant- guerre, n’est ni quelque chose d’inimaginable ni d’intouchable au regard de cette charmante « Baby Austin ». Il est l’heure de casser son PEL ! Particularité de notre Austin 7, elle est équipée de très chic flasques de roue en aluminium intérieur et extérieur. L’Austin Seven est sans aucun doute une des voitures anglaises les plus importantes produites. Elle est en quelque sorte la Ford T anglaise et sera vendue à près de 300 000 exemplaires partout dans le monde. Le modèle fut conçu par Herbert Austin (et Stanley Edge) au début des années 1920 sur une idée simple : pro- poser une voiture ne prenant pas plus de place qu’une moto, mais avec plus de confort et un tout petit prix, le tout équipé d’un vrai petit moteur et de 4 freins - équipement encore peu courant en 1931 ! Au lendemain de la Première Guerre, l’usine de Longbridge signera donc un véritable succès commercial et sportif. L’Austin Seven sera produite entre 1922 et 1939 - une longévité impressionnante – entre autres dû au fait que l’Austin ne fut pas seulement britannique. En France, c’est Rosengart qui, sous licence, produit la petite « 5cv » entre 1928 et 1939. En Allemagne, elle sera fabriquée sous le nom de « Dixi », aux USA sous le nom de « American Bantam », et au Japon sous le nom de « Datsun ». FRAIS DE VENTE : 20% TTC

Estim. 4 000 - 6 000 EUR

2012 – Mercedes-Benz Classe G 63 AMG Brabus - L’indémodable 4X4 de la marque à l’étoile, perfectionné par son meilleur préparateur Titre de circulation français Châssis n°WDB4632721X202094 - Capacités routières et de franchissement hors du commun - Véhicule préparé et livré d’origine par Brabus - Moteur V8 5.5L bi-turbo de 620 chevaux - Finition spécifique et équipement pléthorique - Entretien exclusif par Mercedes et historique complet - Très bon état, à peine 132 000 kms avec service à jour Localisation : région parisienne Le Classe G présenté est un modèle Mercedes-Benz, de type 463 de 2012, dans sa version 63 AMG, commandé et préparé par le célèbre préparateur allemand Brabus dès l’origine. Ce Classe G, qui est l’un des premiers G 63 AMG revu par Brabus, dispose donc du V8 5.5L bi-turbo poussé à 620 chevaux, grâce au module Brabus B63-620 PowerXtra qui donnera son nom aux exemplaires suivant optimisé de la sorte. Initialement mis en circulation en Allemagne mais immédiatement enregistré en Angleterre fin 2012, ce Classe G change de main quelques mois plus tard. Il est alors acquis en 2013 avec un peu plus de 5000 kms par un éleveur de chevaux réputé, effectuant l’essentiel de son kilométrage, en le faisant entretenir régulièrement en Suisse, toujours chez le même concessionnaire de la marque, en l’occurrence le garage de l’Athénée à Genève (Cointrin). Il connait ensuite un autre propriétaire, avant que le 4ème et actuel l’achète chez un professionnel l’année dernière sur un coup de cœur. Il faut reconnaître que ce Classe G, dans sa configuration entièrement noire (Obsidian Black Metallic et intérieur cuir noir Designo), a de quoi plaire. Outre la préparation mécanique Brabus, incluant le dispositif B63-620 et la suspension pilotée Ride Control, celle-ci s’accompagne de toute une préparation esthétique, avec jantes noires en aluminium forgé monobloc Platinium Edition de 23 pouces, sorties d’échappements chromées noir mat siglées Brabus, étriers de freins peints en jaune, peinture de tous les éléments chromés ou argentés en noir, seuils de porte éclairés Brabus en aluminium, tapis de sol Brabus et multiples insignes. Tout ceci en plus de la multitude d’options Mercedes qui équipait déjà ce Classe G à la base, dont pour n’en citer que quelques-unes : pack Designo exclusif avec cuir matelassé, sièges électriques chauffants et ventilés à l’avant, toit ouvrant électrique, système audio Harman Kardon Logic7, régulateur de vitesse actif (Distronic Plus), caméra de recul, interface multimédia avec écrans pour les passagers arrière… Le détail de toute la dotation et la préparation figurant sur la facture originale présente au dossier (disponible sur demande). Aujourd’hui ce Classe G totalise à peine 132 000 kilomètres et est en excellent état d’usage. Il est strictement d’origine, c’est-à-dire conforme à ce qu’il était à sa sortie des ateliers Brabus, à la différence près que l’écran central a été remplacé par un plus grand, avec une interface plus moderne intégrant CarPlay pour une meilleure fonctionnalité. Le dernier entretien a été effectué en juillet 2023, à 127 725 kms, par le spécialiste agréé Mercedes du Chesnay en région parisienne, les consommables sont en bon état et la batterie est neuve. Le carnet d’entretien complet et le dossier de factures correspondant confirment l’entretien sérieux de ce Classe G, qui est aussi accompagné de tous ses accessoires (manuels d’utilisation, double de clés…). Prêt à partir à l’aventure avec un style et avec un niveau de prestation incomparable, cet exceptionnel Classe G, dans sa version 63 AMG 620 Brabus, aussi puissante que luxueuse, permet d’affronter tous types de routes en toute sérénité. Sa configuration particulièrement soignée, ainsi que le caractère intemporel du G lui procurant en plus la surprenante faculté d’être toujours en vogue, et de ne jamais être démodé, lui offrant même une certaine élégance, malgré son gabarit imposant. Commercialisé en 1979 dans sa version civile, le Geländewagen, ou G-Wagen en abrégé, développé par Mercedes en étroite collaboration avec l’entreprise autrichienne Steyr-Puch, a une origine militaire. Initialement, au tout début des années 1970 c’est le Shah d’Iran, alors actionnaire important de la maison mère Daimler-Benz de Mercedes, qui commande l’étude d’un véhicule tout-terrain pour son armée, accélérant ainsi un projet naissant tandis que le Range Rover vient de faire son apparition. Les premiers prototypes codés W460 roulent dès 1974, mais la fabrication de la version définitive du G-Wagen type W461 commence seulement cinq ans après, peu après la chute de son commanditaire… Les concepteurs du G-Wagen avaient eu les débouchés militaires et professionnels en tête, mais avaient heureusement visé aussi les particuliers, face à l

Estim. 80 000 - 100 000 EUR

1987 – Mercedes-Benz 560 SL - Titre de circulation français Châssis n°WDBBA48D6HA058316 - Mercedes emblématique avec une motorisation noble - Intéressante configuration avec options - Voiture d’origine canadienne avec 167 000 kms au compteur - Hard-top et manuels d’utilisation Localisation : région lyonnaise Le cabriolet Mercedes SL type R107 proposé est une version 560, dotée du V8 5,6L au couple généreux produisant 227 chevaux. Il fut mis en circulation en 1987. D’origine canadienne, ce SL est de couleur Blanc Arctique (147U) avec intérieur cuir Bleu Royal (272) et moquettes ainsi que toile de capote assortis. Cette élégante présentation est complétée par des jantes en alliage léger peintes de la couleur de la carrosserie pour un aspect encore plus soigné. Cet exemplaire dispose de différentes options comme la climatisation automatique, les sièges chauffants, les rétroviseurs électriques et chauffants, ainsi que le hard-top avec lunette arrière chauffante également, favorisant son utilisation en toute saison dans des conditions de confort optimales. Ce cabriolet 560 SL a été importé en France, suite à son acquisition auprès d’un professionnel canadien, par son actuel propriétaire en 2018. A son arrivée en France la voiture a été révisée et le pot d’échappement catalytique a été remplacé par un neuf. Son propriétaire a depuis parcouru plusieurs milliers de kilomètres à son bord et cette 560 SL affiche désormais un peu plus de 167 000 kms au compteur. Elle se trouve dans un état général de présentation et de fonctionnement satisfaisant, bien qu’il pourrait encore être amélioré notamment par des soins cosmétiques et que quelques interventions soient nécessaires. En effet, le dernier contrôle technique en date du 21 février 2024 signale plusieurs anomalies (6) classées en défaillances majeures, qui devront être réparées pour que celui-ci soit favorable, mais qui ne devraient vraisemblablement pas nécessiter de travaux trop importants compte tenu de la nature des défaillances en question. Nous invitons néanmoins les personnes intéressées à le consulter sur simple demande. En tant que version destinée au marché américain où il s’agit d’un équipement obligatoire, cette 560 SL a le 3ème feu stop sur la malle arrière et les pare-chocs à absorption d’énergie, qui complètent la panoplie sécuritaire dont l’ABS fait partie de série sur ce modèle. Voiture réputée pour sa fiabilité et sa facilité d’utilisation en toutes circonstances, cet exemplaire sain et avec son hard-top, vous permettra de profiter pleinement des qualités que promettent son blason. La Mercedes SL R107 est une voiture unanimement reconnue pour son agrément de conduite, mais dans cette version 560 SL, à la fois abordable et particulièrement aboutie en tant qu’ultime évolution du modèle, ainsi que coupleuse autant que silencieuse, celui-ci n’en est que décuplé. La 560 SL : une véritable étoile de Mercedes ! Succédant à la SL « Pagode » de type W113, le cabriolet SL de type R107 est dévoilé au printemps 1971. Il marque une rupture de style avec la génération précédente, sans pour autant se départir de son hard-top toujours très élégant et si caractéristique de ce cabriolet de la marque à l’étoile. Il n’est aussi plus tout à fait dans l’esprit Sport Leicht pour « sportive légère » dont SL est l’abréviation, puisque c’est plutôt la philosophie Grand Tourisme qui prévaut sur cette génération. Son excellente qualité de fabrication, son confort et son luxe expliquent son succès, notamment aux Etats-Unis, où il a été un véritable symbole de réussite et a eu une grande carrière cinématographique et télévisuelle. Dès le départ, le cabriolet SL R107 est mue par de gros V8, de 3,5L en Europe et de 4,5L Outre-Atlantique, dont la cylindrée ne fait qu’augmenter, mais qui évoluent vers d’avantage de sobriété, tandis que dans le même temps des variantes à six-cylindres apparaissent pour l’Europe. Au cours de sa vie et au fur et à mesure d’une demande croissante, le SL R107 est par ailleurs constamment perfectionné, entretenant ainsi son succès. En 1986, Mercedes livre finalement sa dernière évolution du SL de type R107 pour son marché de prédilection : la 560 SL, qui est réservée au marché américain. Conformément aux attentes des clients d’Amérique du Nord, ce SL est équipé d’une boîte de vitesses automatique. Il est livré avec un haut niveau d’équipement de série, dont une sellerie en cuir, un système d’alarme, des airbags, la climatisation et l’ABS. La voiture dispose également d’une nouvelle suspension arrière et d’un différentiel à glissement limité permettant de mieux gérer le couple important. Après un peu moins de 50 000 exemplaires fabriqués, cette ultime version du SL R107 tire sa révérence en 1989. Le cabriolet SL de type R107 a ainsi eu une ca

Estim. 20 000 - 25 000 EUR

JAGUAR XJ 12 Série 2 Au milieu des années 60, le charismatique PDG de Jaguar, Sir William Lyons pense que la gamme de ses berlines commence doucement à vieillir et surtout qu'elles se cannibalisent entre elles. En effet, les 240 & 340 (ex MK 2), S-Type et 420 jouent dans la même catégorie, hormis la 420 G, plus grande, qui perdurera jusqu'en 1970. Pour remédier à cela, une toute nouvelle auto est élaborée. Elle remplacera à elle seule les 3 modèles cités auparavant. Celle qui va se nommer XJ 6 sera le dernier bébé du maître. Présentée au salon de Paris 1968, elle est unanimement saluée par le public et les journalistes et elle sera rapidement désignée comme « la plus belle berline du monde ». Hormis son style racé, elle reprend le train arrière sophistiqué de la 420 G, avec ses doubles ressorts hélicoïdaux et ses freins à disques placés in-board. Son train avant à double triangulations et sa direction à crémaillère sont nouveaux. Elle est disponible avec le double-arbres 6 cylindres habituel de 4.2 l, ainsi qu'en une nouvelle version de 2.8 l, en boîte mécanique ou automatique. Elle se fait remarquer par son excellente tenue de route et son grand confort. Elle est également déclinée en versions plus luxueuses sous la marque « Daimler ». En 1972, le modèle adopte le nouveau moteur V12 de 5.3 l, étrenné auparavant par la E-Type. Elle est disponible uniquement en boîte automatique. Quelques mois plus tard apparaît une version dont l'empattement est augmenté de 10 cm. La production totale de cette première série atteint 82'209 exemplaires (ou 82'217, selon les sources). Au salon de Frankfort 1973, Jaguar présente la Série 2, disponible avec le 6 cylindres 4.2 l et le V12 de 5.3 l. Avec comme modification esthétique, le rehaussement du pare-chocs avant, principalement pour satisfaire aux normes sécuritaires américaines, un marché très important pour la marque. Ce rehaussement du pare-chocs signifie que la hauteur de la calandre est réduite d'autant. A l'intérieur, un nouveau tableau de bord regroupe tous les cadrans devant les yeux du conducteur. Une toute nouvelle version de carrosserie fait son apparition, le coupé 2 portes, sans montant. Pour l'année 1975, un moteur plus petit de 3.4 l est proposé. L'injection électronique alimente maintenant le moteur V12. La carrière de ce deuxième opus se poursuivra jusqu'en 1979, après 92'376 exemplaires produits, toutes carrosseries confondues. La vie de la XJ se poursuivra avec la Série 3, redessinée avec l'aide de Pininfarina. Le modèle présenté a été immatriculé pour la première fois le 1er août 1977. Il est en bon état général. Il jouit d'une belle patine tant extérieure qu'intérieure. Elle provient d'une importante collection dans laquelle elle se trouve depuis 7 ans et affiche 14'963 km au compteur.

Estim. 6 000 - 12 000 CHF

Lancia Belna Coupé «Paul Née» 1936 - Le dernier des coupés Châssis n°F34 1322 Moteur n°1403 Type F88 Boite de vitesse n°1412 Type F127 Carte Grise Française 12 Mars 1936, Monsieur Alexandre Lecamus passe commande de sa Lancia Belna pour 35 000 francs. À l’époque, Lancia jouit d’une solide réputation d’innovation que la Belna n’usurpe pas. Elle est équipée de freins hydrauliques, d’une caisse auto porteuse et des 4 cylindres en V de Lancia, entre autres. Notable de Castres, Monsieur Lecamus n’opte pas pour la Berline usine standard, mais fera carrosser son châssis chez Paul Née, en coupé s’il vous plaît. Le couple Lecamus en profitera de nombreuses années et à la mort de Monsieur Lecamus en 1955, sa femme immatriculera la voiture à son nom de jeune fille, Marie Charvet. Des années plus tard, dans les années 70, Madame Charvet offrira la voiture au petit-fils de son aide-soignante, le jeune homme que l’on aperçoit derrière la Belna alors que Madame Lecamus pose devant la voiture avec en fond la Mairie de Castres. La Lancia Belna n’est autre qu’une Lancia Augusta renommée pour le marché français avec cependant quelques spécificités, mais nous y reviendrons plus tard. L’Augusta est conçue juste après la crise de 1929, dans un contexte économique peu propice à l’excentricité. Elle sera donc un modèle économique et avec des dimensions moins importantes que ses ainés, tout en conservant des innovations techniques (entre autres : caisse auto-porteuse, suspensions indépendantes, freins hydrauliques, ...), la marque de fabrique de Lancia. Elle sauvera la marque dans cette période difficile, grâce notamment à son succès en Italie. Mais revenons à la Belna. Suite à la crise, les droits d’importation étant prohibitifs, il fallait pour continuer à vendre à l’étranger, y construire son usine pour vendre « sur place ». Deux choix s’offraient au futur acheteur, une berline (code F231 ) ou un châssis prêt à être carrossé (code F234 ). Pourtout, Paul Née, ... sont quelques-uns des carrossiers français qui seront sollicités pour habiller les Belna. Le nombre de Lancia Belna fabriquées durant les quatre ans d’existence de Lancia France s’élève à environ 3000, dont 2500 berlines F231 et 500 châssis F234. Pour la petite histoire, la Lancia Augusta a eu une vraie carrière en compétition, participant notamment aux Mille Miglia, à la Copa d’Oro ou encore la Targa Florio. Elle était, dit-on, la voiture favorite de Tazio Nuvolari et Achille Varzi. Il décidera de faire restaurer la voiture et la confiera à l’atelier Bruni, mais n’immatriculera jamais l’auto. Appelé par les sirènes de la success story américaine, il quittera la France et confiera la voiture à sa sœur, Florence Alba, qui immatriculera la voiture en 1984 sans que l’immatriculation de Madame Lecamus ne soit modifiée. La voiture n’a donc jamais quitté Castres ! Des années plus tard, le propriétaire actuel, cousin de Florence Alba et dont le père était apprenti chez Brumi fait l’acquisition de la voiture et la conserve scrupuleusement dans l’état dans lequel il en a pris possession. Cette rarissime Lancia Coupé dessinée et réalisée par Paul Née n’aura connu que deux familles de propriétaires alors qu’elle souffle ses 88 bougies (preuve s’il en faut que c’est une voiture à laquelle on s’attache !). Elle se trouve dans un état extrêmement sain (pas de corrosion) grâce à la restauration dont elle avait bénéficié dans les années soixante-dix. Depuis, elle n’a quasiment jamais roulé et est complète. Elle attend une nouvelle famille de passionnés qui, après les vérifications d’usage et une remise en route du moteur pourra à nouveau laisser admirer sa ligne sur les routes de France. L’immatriculation de 1955 est toujours présente ! Paul Née était un carrossier français qui connut ses heures de gloire durant l’entre deux guerres. Hispano Suiza, Bugatti et Mathis sont quelques-uns des grands constructeurs dont il a habillé les voitures. Sans oublier Lancia, avec qui il avait une relation privilégiée Le petit strapontin arrière, qui accueille un troisième passager en cas d’urgence. On notera la numérotation d’assemblage des panneaux en bois d’origine du carrossier et tout l’habillage de la voiture d’origine en bel état. On ne peut malheureusement pas en dire autant des sièges conducteur et passager qui seront à reprendre. L e V4 1,2l se révèle être un excellent moteur, capable d’atteindre plus de 3500 tours minute, ce que peu de ses concurrents pouvait égaler. Endormi depuis plusieurs années, il sera à vérifier avant une remise en route. Le numéro de série du moteur correspond bien à celui du bloc. Une intrigante inscription «Vesuve» est peinte sur le couvre culasse. FRAIS DE VENTE : 20% TTC

Estim. 20 000 - 25 000 EUR

1988 – Land Rover Range Rover V8 3.5L préparé Rallye-Raid - Titre de circulation français Châssis n°SALLHABV8EA339037 - 4x4 iconique et premier à remporter le Paris-Dakar - Version 2 portes avec à peine 120 100 kms d’origine - 3ème main depuis 2007 et dossier intéressant - Préparation spéciale Rallye-Raid de qualité Localisation: région lyonnaise L’exemplaire présenté est justement un Range Rover V8 3.5L à carburateurs (SU) et boîte de vitesses mécanique à 5 rapports, en carrosserie deux portes, mis en circulation le 17 novembre 1988, ayant été préparé pour le Rallye-Raid. Cette préparation a été effectuée à la demande de son propriétaire actuel en 2008, par un préparateur spécialisé, selon le cahier des charges de la Transafricaine Classic, organisée par Patrick Zaniroli ; Rallye auquel ce Range était engagé en 2009 mais qui n’a pu y prendre part suite à l’annulation de l’épreuve cette année-là. Esthétiquement la préparation a consisté en une décoration style « VSD » monochrome blanc, respectant la couleur d’origine et s’inspirant du Range Rover V8 de René Metge, le vainqueur du « Paris-Alger-Dakar » en 1981. Mécaniquement, les amortisseurs ont été remplacés par des Bilstein competition, un snorkel a été monté avec un filtre à air conique compétition, un ventilateur de radiateur supplémentaire a été posé et une double bobine d’allumage a été prémontée. En ce qui concerne l’équipement, les choses ont été plus loin, avec à l’extérieur, outre l’attelage, l’ajout de deux paires de phares longue-portée, d’un ski de protection du moteur plus du pont avant et le blindage des dessous et des bas de caisse, ainsi que le montage de pneus 4x4 BFGoodrich All Terrain, lesquels sont neufs de 2022. Tandis que dans l’habitacle, des sièges baquets Oreca avec harnais 5 points compétition FIA, un arceau de sécurité LMT boulonné 6 points, un pédalier, un repose-pieds copilote et des planchers en aluminium embouti, ainsi qu’un réservoir d’essence additionnel ATL de 170 litres (homologation FIA) ont été installés ; Sans oublier que le coffre a été aménagé avec des compartiments où l’on trouve deux plaques de désensablement, un cric Hi-Lift, et 2 roues de secours (BFGoodrich All Terrain là-encore) sanglées. L’instrumentation de bord a aussi été enrichie, avec un indicateur de température d’eau radiateur, de température d'eau bloc moteur, de température d'huile, un manomètre d'huile et un ampèremètre. Le système électrique a également été renforcé au niveau des fusibles pour améliorer la fiabilité et un coupe-circuit général rajouté dans l’habitacle. Ce Range bénéficie en plus d’une navigation Terratrip, d’une radio CB, et d’un précâblage pour balise E-Track. Préparé de la sorte et doté de sa fantastique transmission intégrale permanente avec réducteur et blocage de différentiel central, ce Range est taillé pour faire face à des conditions extrêmes. D’ailleurs il est utilisé pour des raids. Néanmoins il est néanmoins dans un état de conservation appréciable, avec 120 100 kms d’origine et un historique clair (3 propriétaires). Dans les mêmes mains depuis 17 ans, il est entretenu et dispose d’un dossier intéressant, incluant les factures de la préparation (pour environ 15 000 €) avec les certificats d'homologation de ses équipements, ainsi que son carnet Range Rover original. Il s’agit donc d’un exemplaire bien préparé, éprouvé et fiabilisé ; Prêt à partir à l’aventure ! Dans les années 1950, Land Rover rencontre un franc succès avec son rustique série III, mais souhaite élargir sa gamme avec un véhicule offrant les mêmes capacités de franchissement, propres au constructeur britannique de véhicules tout-terrain, tout en proposant un certain confort et des capacités routières supérieures comme une berline Rover. Après deux prototypes, finalement abandonnés en 1956 puis 1959, c’est en 1966 que le projet refait surface, sous la forme d’une étude d’un « break à empattement de 100 pouces » de Charles Spencer King, alors ingénieur en chef des nouveaux véhicules pour tout le groupe British Leyland Motor Corporation, souvent qualifié de « père » du Range Rover. Ce prototype, baptisé « Velar », débouche sur la commercialisation du Range Rover en 1970, immédiatement après sa présentation officielle à la presse le 17 Juin de cette même année. Celui que l’on désigne à partir de là, comme le « Range » est un véhicule d’une polyvalence exceptionnelle, qui ouvre une nouvelle voie, en créant la catégorie des 4x4 de luxe. La première génération, dite la « classic », est dotée d’un moteur V8 en aluminium obligatoirement accouplé à une boîte de vitesses manuelle jusqu’en 1982, d’une transmission intégrale permanente, de freins à disque aux 4 roues et innovation majeure pour les véhicules tout-terrain de l’époque, d’une suspensi

Estim. 25 000 - 30 000 EUR

BERNAR VENET (born 1941) Combinaison aléatoire de lignes indéterminées 1992 Signé, titré et daté en bas Collage, bâton d'huile et graphite sur papier Getekend, getiteld en gedateerd midden onder Collage, olieverf en grafiet op papier Signed, titled and dated lower center Collage , oilstick and graphite on paper 76 x 52 cm Footnotes: Provenance / Herkomst Eric Van de Weghe Gallery, Belgique Collection privée / privécollectie, Bruxelles L'authenticité de cette œuvre nous a été aimablement confirmée par l'artiste Cette oeuvre est enregistrée aux archives sous le numéro d'inventaire bv92d58 Je cherche à proposer de nouvelles configurations dans le champ de la structure. (...) J'aborde un autre système qui est celui de l'imprévisible... This lot is subject to the following lot symbols: AR AR Un pourcentage supplémentaire sera demander aux acquéreurs pour les lots précédés du symbole AR correspondant aux droits de suite aux artistes en vertu de la réglementation de 2006 sur le droit d'auteur. Veuillez vous référer aux conditions de ventes pour plus de détails. De koper is ons een extra premie verschuldigd ter dekking van onze kosten in verband met de betaling van royalty's krachtens de Artists Resale Right Regulations 2006. Zie onze algemene voorwaarden voor meer informatie. An Additional Premium will be payable to us by the Buyer to cover our Expenses relating to payment of royalties under the Artists Resale Right Regulations 2006. See our terms and conditions for further details. For further information on this lot please visit Bonhams.com

Estim. 18 000 - 22 000 EUR

TALBOT LAGO T120 Baby Coach 1937 Type : T120 châssis court. N° de série : 85733 Motorisation : Moteur 6 cylindres en ligne culbuté de 3 001 cm3, 78 x 104,5 ; 90 chevaux. Boite de vitesse : Manuelle pré sélective WILSON, 4 rapports plus marche arrière. Kilométrage : 17 415 km au compteur. Carte grise : Française, 17 CV - 4 places. Contrôle technique : Sans. État : Roulante, bon état général. Talbot est un constructeur franco-anglais au parcours complexe. Créé en 1903 par Adolphe Clément-Bayard et Charles Chetwynd, sous le nom de Clement-Talbot, la société est achetée par Darracq après la première guerre mondiale. Le constructeur devient Talbot seulement en 1922. En 1935, après la faillite de Sunbeam-Talbot- Darracq, l'ingénieur italien Anthony Lago prend le contrôle de la branche française de la société, tandis que la branche anglaise, rachetée par Rootes, deviendra Sunbeam Talbot, puis Sunbeam. Crise oblige, Talbot doit proposer des modèles plus modestes. La très réussie Talbot T120 Baby inaugure un nouveau châssis plus court et plus léger et un nouveau moteur 6 cylindres en ligne monobloc à soupapes en tête très performant. Ce moteur développe 90 chevaux et permet une vitesse maxi de 150 km/h grâce à un poids limité. Cette Talbot T120 est présentée en tres bel état général. Son intérieur très cossu est entièrement d'origine. Sa carrosserie coach est en bel état de conservation, c'est une voiture à la ligne élégante avec ses rares ailes avec nervures, et aux performances mécaniques avérées. Sa mécanique entièrement refaite à neuf par un professionnel, encore en rodage, est fiable ; la boîte de vitesse de type Wilson avec présélection des rapports révisée fonctionne très bien. La transmission et les freins on été refait et réglés. Elle est accompagnée d'un important dossier de factures en carrosserie et mécanique qui prouve qu'elle est parfaitement entretenue, elle part par la route; et possède dans sa malle arrière une rare paire de valise avec ses clés!

Estim. 40 000 - 50 000 EUR

1982 – Toyota Land Cruiser BJ42 - Titre de circulation français Châssis n°JT1VOBJ4200914849 - Un 4X4 aussi iconique qu’indestructible ! - Modèle de la série 4 la plus représentative, dans sa version la plus appréciée - Exemplaire en bel état général de conservation - Équipement très complet avec pare-buffle, treuil, attelage, blocage de différentiel Localisation : région lyonnaise Initialement conçu pour les forces de l’ordre japonaises et inspiré de la Jeep, le Land Cruiser né sous le nom de « Toyota Jeep BJ » en 1951. Mais c’est en 1953 que la version civile apparaît, déclinée en plusieurs carrosseries : 2 ou 4 portes, pick-up, toit souple ou toit rigide… Dès 1954 Toyota est contraint de la rebaptiser suite à l’interdiction de la marque américaine d’utiliser son nom. C’est à partir de là qu’il prend le nom de Land Cruiser. Par la suite, en 1955 il devient la première voiture particulière japonaise à être exportée et commence alors une carrière internationale en étant commercialisé dans toujours plus de pays. Dans le même temps, la gamme se diversifie encore d’avantage avec différents empattements notamment pour répondre à tous les besoins. Parallèlement à cette évolution il gagne aussi au fur et à mesure des multiples versions qui sortent quelques équipements de confort mais sans jamais sacrifier les capacités de franchissement qui font sa réputation ni sa fiabilité. Le Toyota Land Cruiser débarque en France en 1974 seulement, avec la quatrième série datant de 1960, en châssis court bâché ou avec hard-top, mais avec un nouveau moteur quatre-cylindres 3 litres diesel de 80 chevaux (de type B). D’autres versions sont commercialisées ultérieurement. Le Land Cruiser rencontre un franc succès à partir du milieu des années 70 avec des ventes qui décollent pour dépasser les 100 000 exemplaires chaque année. A partir de 1984, le Land Cruiser évolue en trois séries. Une utilitaire baptisée « Heavy Duty » avec suspension à lames et pouvant recevoir des moteurs de grosse cylindrée, ainsi que deux civiles adaptées aux marchés à l'international : « Light Duty » (disponible en France notamment) et « Station Wagon » avec suspension hélicoïdale et pouvant recevoir des motorisations de plus petite cylindrée, notamment 4 cylindres. Ce positionnement a permis au Land Cruiser d’élargir encore sa clientèle et de perdurer au fil d’innombrables versions et évolutions. Si bien que jusqu’à présent il a été produit à plus de 11 millions d’exemplaires toutes générations confondues ! Parmi toutes les itérations de ce véhicule au succès planétaire, c’est sans doute la série 4 qui est la plus emblématique avec son identité forte et précédent le vaste mouvement de diversification de la gamme. C’est justement Un Toyota Land Cruiser de la 4ème série que nous proposons, de type BJ42, c’est-à-dire à empattement court, motorisé par le 4 cylindres en ligne diesel 3,4L de 90 chevaux et en version bâché. Ce BJ42 fut mis en circulation le 1er mars 1982 en France et n’a connu que 4 propriétaires depuis. Il dispose de son titre de circulation en catégorie utilitaire 2 places et se présente dans un bon état général de présentation et de fonctionnement au regard de cette vocation. Affichant un peu moins de 143 500 kms au compteur, ce BJ n’a effectivement jamais été restauré, bien que repeint il y a quelques années. La peinture est ainsi homogène et a un bon éclat, tandis que la bâche est plus ancienne et porte quelques déchirures par endroits. A l’intérieur des sièges baquets et un arceau boulonné ont été installés. Pour le reste l’instrumentation est d’origine et en bon état. Mécaniquement cet engin réputé pour sa fiabilité fonctionne bien. On signale simplement une fuite à l’échappement. L’une des deux batteries est neuve. Par ailleurs les phares sont également récents. Cet exemplaire de BJ est en outre très bien équipé, avec son large pare-buffle, un treuil, une paire de phare longue-portée additionnelle, un attelage, ainsi qu’un blocage de différentiel qui a été monté pour renforcer encore ses aptitudes en tout-terrain déjà unanimement reconnues. Il profite par ailleurs des améliorations apportées à cette série avec les freins à disque à l’avant, le moteur diesel le plus puissant et la direction assistée d’origine, qui le rendent plus utilisable. C’est donc un Land Cruiser, de type BJ, dans sa configuration la plus désirable (42), en état d’usage, qui sera l’allié idéal, que ce soit pour vous aider dans des tâches de transports difficiles ou pour barouder hors des sentiers battus.

Estim. 17 000 - 23 000 EUR